D'abord autel de la Sainte-Croix, puis de Notre-Dame-des Sept-Douleurs.

bas-côté sud de l’église Saint-Maurice, Dominique Angerhofer, 1752. 

Bois sculpté, polychromie de Paul Neumann, v. 1890 (faux marbre peint à l’huile), 

Pietà provenant de Bulle, sculpteur non identifié, 2e quart du XVIIe siècle. 

À l’attique, au centre, Daniel dans la fosse aux lions, milieu du XVe siècle, de part et d’autre, saint Érasme et saint Garin, fin du XVIe siècle, au sommet, évêque non identifié, fin du XVIe siècle.

Anton Will attendit la fin de son « Triennum » pour commander un troisième autel à Dominique Angerhofer. Il note que peu après le 8 mars 1752 le nouvel autel de la Sainte-Croix est presque terminé, même s’il n’est pas encore érigé. Il annonce qu’on placera en son centre la statue de bois passant pour être l’original de l’image miraculeuse de Notre-Dame de Compassion de Bulle.